Résumé :
|
L'implication du glutamate dans la physiopathologie de la dépression est aujourd'hui bien établie. En effet, aux côtés des altérations des systèmes monoaminergiques centraux, coexistent des anomalies de la neurotransmission glutamatergique, en particulier au niveau des structures limbiques. C'est pourquoi l'action modulatrice démontrée de la tianeptine sur la neurotransmission glutamatergique et ses effets trophiques positifs sur la neurotransmission glutamatergique et ses effets trophiques positifs sur l'hippocampe en font une classe d'antidépresseurs pertinente et à part.
|