Résumé :
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" Inhibition, symptôme et angoisse est un texte sur l'angoisse, sur la théorie de l'angoisse ; le symptôme et surtout l'inhibition n'y occupent qu'une place réduite. Le recours aux « suppléments », lesquels remettent à chaque fois en cause la totalité, ajoute à cette impression d'une insatisfaction au moins partielle devant les conclusions. Ce sentiment mitigé devant l'ouvrage, Freud le confie à Jones : ""Il contient plusieurs choses nouvelles et d'importance, annule et corrige de nombreuses conclusions antérieures, et de façon générale n'est pas bon."" Sans doute faut-il faire dans ce jugement la part, courante chez Freud, de l'autodépréciation ; elle ne supprime cependant pas l'insatisfaction ». "
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