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Résumé :
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La qualité des soins dépend de la sécurité de l'identification du patient. Dans le processus transfusionnel, comme dans n'importe quel acte de soins, l'identitovigilance est prédominante. L'immuno-hématologie va permettre à l'hémovigilant, en collaboration avec la cellule d'identitovigilance, de discriminer les homonymies et les usurpations d'identité. L'analyse a posteriori des évènements indésirables de la chaîne transfusionnelle favorise la mise en place de mesures préventives. La certification des établissements de santé prévoit l'analyse a priori des risques et le critère 8.j, la maîtrise du processus transfusionnel. Une collaboration étroite du biologiste-soignants-hémovigilance contribuera à réduire le risque transfusionnel.
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