Résumé :
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Prendre en compte la douleur en santé mentale se révèle fondamental en psychiatrie, a fortiori en psychogériatrie. La personne âgée est trop souvent confrontée à la non-écoute tant de sa situation existentielle douloureuse que de son vécu d'une douleur physique. Cette composante algique, d'origine somatique, demeure, à l'instar de la douleur morale, encore trop banalisée, parce qu'assimilée trop vite au grand âge. La culture de la lutte contre la douleur a ainsi besoin d'être étendue, ainsi que la formation pratique des médecins et des soignants. (Source éditeur)
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