Résumé :
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Après avoir rappelé les circonstances de découverte et les particularités de cette pathologie originale, les auteurs décrivent les nombreuses techniques qui ont permis d'en faire le diagnostic. Ils insistent sur l'importance de la qualité des prélèvements avec les techniques classiques de coloration et décrivent les différentes étapes d'amélioration de la performance. Depuis quelques années, dans les laboratoires spécialisés, principalement hospitaliers, se sont développées des techniques de biologie moléculaire, beaucoup plus sensibles, demandant des prélèvements moins invasifs, donc mieux tolérés. Ces techniques exigent une interprétation précise selon la pathologie et le mode de prélèvement mais représentent l'avenir dans le diagnostic du Pneumocystis jirovecii. (Source Editeur)
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