Résumé :
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Globalement, dans la première décennie postménopausique, le risque fracturaire est modéré (sauf situation particulière [antécédent de fracture de fragilité, antécédent familial de fracture du col fémoral, ostéoporoses dites secondaires]). La mesure de la densité minérale osseuse (DMO) au rachis et au fémur par absorptiométrie biphotonique à rayons X reste le meilleur outil de dépistage du risque fracturaire dans cette population. Il est très spécifique, une valeur de DMO basse traduisant une fragilité osseuse avec un risque élevé de fractures. Il manque en revanche de sensibilité. Un certain nombre de femmes avec un os fragile n'ont en effet pas de diminution nette de leur DMO. (Source éditeur)
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