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Résumé :
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Une vingtaine de Services statistiques ministériels oeuvrent pour recueillir, analyser, diffuser l'énorme flot d'informations qui concerne la vie de tous les citoyens et le devenir de la nation. Tour d'horizon, avec une échappée du côté de l'Europe et d'Eurostat. En France l'Insee anime et coordonne le réseau des dix-huit Services statistiques ministériels (SSM), sous l'égide du Conseil national de l'information statistique (Cnis) qui examine et approuve leurs programmes de travail. Le bureau des statistiques, des études et de l'évaluation (B3), au sein de la DGAFP (Direction générale de l'administration et de la fonction publique), constitue le Service statistique du ministère chargé de la fonction publique. Portrait d'une fonction. La coordination du système de statistique publique est assurée par l'Insee au travers de ses personnels, de son organisation et de ses concepts. Un portail donne accès à l'ensemble des producteurs de statistiques. Les nombreuses productions de la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) permettent de décrire, de prévoir, d'alimenter le débat et de mesurer les performances de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche. Créée en 1998, la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques passe au peigne fin les établissements de santé et les établissements sociaux, leurs personnels et leurs bénéficiaires. Le SSM Environnement est l'Institut français de l'environnement (Ifen), service à compétence nationale, qui prépare le futur portail de l'environnement. L'Onu, l'OCDE et l'Union européenne ont entrepris une harmonisation des statistiques. Ce processus, obligatoire dans l'Union européenne, est plus souple dans les autres institutions. Il se déroule étape par étape. L'une des grandes directions générales de la Commission européenne est presque aussi ancienne que l'Europe. Portrait. (Source éditeur)
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