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Résumé :
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Passer une nuit à l'hôpital la veille ou le lendemain d'un examen, d'une séance de chimiothérapie ou d'une petit intervention chirurgicale n'est pas toujours nécessaire sur le plan médical. Proposer à certains patients une solution d'hébergement temporaire non médicalisée, à proximité, pourrait améliorer leur confort et permettre aux établissements de santé de se concentrer sur leurs missions de soins. Ce concept est d'autant plus utile qu'il s'adresse à des patients résidant à distance de l'établissement de soins. En outre, pour la Sécurité Sociale, les économies réalisées seraient colossales. Ce type d'hébergement existe sur quelques sites en France sous le nom d'"hôtel hospitalier", d'"hôtel pour patienrs", de "maison d'accueil" ou encore d'"appartement hôtelier pour patients". Depuis 2016, 41 établissements expérimentent pour trois ans ces solutions d'hébergement. Enfin de parcours, voici un bref état des lieux pour comprendre les atouts, les freins et les principaux enjeux du développement de ces hôtels hospitaliers, au travers de l'exemple d'un important prestataire : la société Seclem GGL Santé, qui porte la marque Seren'City. (Source éditeur)
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