Résumé :
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L'école, tant en France qu'en Belgique, n'a jamais fait preuve d'une aversion quelconque pour l'étude de la grossesse et/ou de l'accouchement. Il convient de souligner à cet égard que les enseignants du primaire et du secondaire utilisaient - et utilisent toujours - pour illustrer les leçons, la projection de diapositives et de films ; le monde de l'éducation apprécie l'intérêt pratique de ces supports. Comme on s'en doute, l'avantage des représentations cinématographiques par rapport aux peintures ou aux sculptures est simple et clair : elles suscitent l'attention des spectateurs et des sentiments grâce aux mots, aux sons et aux musiques. (Source éditeur)
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