Titre : | Comment je fais un bilan d’infertilité masculine en échographie (2020) |
Auteurs : | Laurence Rocher, Auteur ; C. Balasa, Auteur ; G. Hindawi, Auteur ; et al., Auteur |
Type de document : | Article |
Dans : | Journal d'imagerie diagnostique & interventionnelle (VOL. 3 N° 1, Février 2020) |
Article en page(s) : | 12-17 |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Résumé : |
Introduction : L’infertilité masculine concerne environ 8% des hommes. Le bilan d’imagerie de l’appareil génital masculin est basé sur l’échographie-Doppler.
Messages principaux : Un bilan d’infertilité masculine débute par l’interrogatoire centré sur les antécédents urinaires et génitaux et les facteurs de risque d’infertilité. Après explications sur l’examen, l’échographie des bourses inclue la mesure du volume de chaque testicule, l’appréciation de leur échostructure, l’individualisation et l’analyse des épididymes et déférents, la recherche de varicocèle couché et debout. En cas d’hypospermie, ou à la demande de cliniciens spécialisés, l’échographie endorectale recherche des malformations des voies génitales profondes, des séquelles infectieuses, des arguments pour une sténose des canaux éjaculateurs. Deux entités présentant un aspect échographique particulier doivent être connues: le syndrome de Klinefelter et l’absence uni- ou bilatérale des déférents s’intégrant le plus souvent dans le cadre d’une mutation du gène CFTR. L’échographie rénale sera requise en cas de malformation des voies génitales. Conclusion : L’échographie génitale masculine requiert un abord très clinique du patient et une connaissance des processus qui peuvent altérer la fécondité. (Source éditeur) |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité | lien web |
---|---|---|---|---|---|---|
32490 | PER | Périodique | Centre de ressources documentaires IFPS | Périodique | Disponible |