Résumé :
|
Un homme souffrant d’un cancer des amygdales récemment diagnostiqué s’est vu prescrire la chambre implantable nécessaire à l’administration d’un traitement anti-cancéreux par chimiothérapie. Au décours de cette intervention, il a présenté un pneumothorax qui a été immédiatement traité mais qui s’est aggravé et a entraîné son décès un mois plus tard. Saisie par la famille, la Cour administrative d’appel de Nantes écarte tout engagement de responsabilité, sur le terrain de la faute, de l’information et de la solidarité nationale (CAA Nantes, 24 janvier 2020, n° 18NT02741). (Source éditeur)
|