Résumé :
|
À l’image de Boileau, la Cour des comptes remet vingt fois son ouvrage sur le métier, notamment à l’occasion de travaux concernant la santé, considérant sans doute que l’efficacité du message pédagogique réside dans l’art (poétique?) de la répétition. Ainsi, dans son rapport sur l’exécution de la loi de financement de la sécurité sociale, elle consacre un chapitre aux dépenses de biologie médicale sur lesquelles elle s’était déjà attachée à produire une volumineuse étude réalisée, en vertu de l’article L.O132-3.1 du code des juridictions financières, à la demande de la commission des affaires sociales du Sénat. (Source éditeur)
|