Titre : | Imagerie des dysthyroïdies (2022) |
Auteurs : | J.-G. Marchand, Auteur ; G. Russ, Auteur ; E. Ghanassia, Auteur ; et al., Auteur |
Type de document : | Article |
Dans : | Journal d'imagerie diagnostique & interventionnelle (VOL. 5 N° 3, Juin 2022) |
Article en page(s) : | 141-153 |
Langues: | Français |
Catégories : | |
Résumé : |
Introduction :
L’échographie doppler est l’imagerie de référence pour l’exploration thyroïdienne. En cas de dysthyroïdie, l’échographie ne doit pas être systématique. Données récentes : Chez le patient atteint d’hypothyroïdie, l’échographie est indiquée en cas de palpation cervicale anormale ou de signes compressifs, initialement ou lors du suivi. Elle peut se discuter lorsque la palpation clinique est difficile, en présence de facteurs de risque de cancer thyroïdien, en cas d’anxiété persistante du patient ou de TSH (thyroid stimulating hormone) élevée persistante avec anticorps anti-thyroperoxydase (TPO) négatifs. Dans les hyperthyroïdies, c’est le seul examen réalisable en cas de contre-indication à la scintigraphie (grossesse, allaitement). L’échographie doit être réalisée avant tout traitement radical (chirurgie ou traitement par iode 131) afin de mesurer le volume glandulaire à traiter et d’écarter la présence d’un nodule suspect. Le doppler pulsé est utile pour l’aide à l’arrêt du traitement par antithyroïdiens de synthèse. L’échographie doppler permet le plus souvent de poser le diagnostic causal de l’hyperthyroïdie, en complément de la scintigraphie. Conclusion : Cette mise au point propose un résumé des principales causes des dysthyroïdies et de leur aspect échodoppler dans leur forme typique. (Source éditeur) |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité | lien web |
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33227 | PER | Périodique | Centre de ressources documentaires IFPS | Périodique | Disponible |