Résumé :
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Les patients suivis en psychiatrie ont un accès à la sexualité moindre que la population générale. Les causes peuvent être multiples, mais les effets secondaires des psychotropes restent au premier plan et sont fréquemment évoqués par le patient pour justifier l'arrêt du traitement. Pour les soignants, cette plainte, difficile à recevoir, fait l'objet de très peu d'évaluations. A partir d'un cas clinique et d'une analyse de la littérature, nous évoquerons cette difficulté à entendre et les accompagnements possibles de la plainte sexuelle des usagers. (RA)
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