Résumé :
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Les pleurs du bébé auraient pour principale fonction d’appeler un caregiver . Ils auraient également une fonction de décharge du stress assurant une partie de sa régulation émotionnelle, l’autre partie reposant sur la contenance apportée par sa/ses figure(s) d’attachement. L’évolution des pleurs suit des invariants mais des différences existent en termes de quantité et de consolabilité en fonction du développement du nourrisson et des réponses apportées par son caregiver . Les pleurs sont parfois en lien avec des pathologies. Lorsqu’ils sont difficilement consolables, ils peuvent exercer un impact sur la thymie des parents, le bébé et les interactions précoces qui lient cette triade. (RA)
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